Bilans d'expertises aux aptitudes

Quatre tronçons de routes en Ile-de-France verront leur vitesse réduite de 20 km/h

Une nouvelle mesure qui vise à diminuer la pollution et les embouteillages débutera le 4 juillet 2016. Anne Lavaud, déléguée générale de l’Association Prévention routière explique cette nouvelle limitation : «cette baisse de la vitesse devrait décongestionner le trafic, qui gagnera en fluidité notamment aux heures de pointe».

Les modifications du Code de la route : étude sur les répercussions pour les conducteurs

Le 22 janvier 2016 ont été publié les modifications du Code de la route concernant le passage du test psychotechnique par les conducteurs dont le permis a été suspendu ou annulé. Si auparavant tous les conducteurs dont le permis a été suspendu ou annulé pour un délai égal ou supérieur à 1 mois devaient passer le test psychotechnique pour récupérer le permis de conduire, les nouvelles modifications du Code de la route ont diminué le nombre des conducteurs qui doivent passer un test psychotechnique.

La ville de Chambéry a choisi AAC pour faire passer des tests psychotechniques aux agents de son Unité de Tranquillité de Nuit

La mairie de Chambéry (Savoie) a choisi la société AAC Audit des Aptitudes et du Comportement en tant que centre agrée pour le passage du test psychotechnique pour les agents de police municipale de l’Unité de Tranquillité de Nuit (UTN) de la ville de Chambéry.

L’examen du Code de la route : une seconde relance

Après un départ raté et un tas de critiques vers les nouvelles questions mal formulées, l’examen du Code de la route fait une deuxième tentative. Ainsi, les prestataires privés entrent en jeu pour atténuer les défauts du système actuel, qui s’est trouvé incapable de faire face à la demande.

Les nouveaux tarifs sur les cartes grises

La réforme territoriale qui a récemment fait passer le nombre de régions de 22 à 13 a eu son effet sur les tarifs des cartes grises. Les régions avaient jusqu’au 31 mai (date butoir d’adoption de leur budget 2016) pour choisir « un taux unitaire par cheval-vapeur unique sur l’ensemble de leur ressort territorial ». Du coup, les régions avaient trois options devant eux : soit appliquer le tarif le moins cher, soit le plus cher, soit prendre la moyenne...